CleanTech – Centre de technologie des 2 mers pour un environnement sain

Pays : France, Belgique, Royaume-Uni, Pays-Bas
Frontière(s) : France-Belgique, France-Royaume Uni, Belgique-Pays-Bas, Belgique-Royaume Uni,
Territoires :
Arc Manche, Dunkerque-Flandre occidentale-Côte d'Opale,
Programme(s) européen(s) :
Interreg IVA - 2 Mers
Thème(s) :
- Adaptation au changement climatique
- Environnement

Porteur du projet : Université du Littoral Côte d'Opale (ULCO)

Des chercheurs de différentes disciplines issus de laboratoires français, anglais et néerlandais forment un projet de recherche général visant à diminuer les émissions d’oxydes d’azote (NOx) et d’oxydes de soufre (SOx).

A partir des méthodes et outils développés par les membres du projet et avec le soutien du secteur public et industriel, le partenariat doit permettre aux laboratoires de mutualiser leurs connaissances pour une meilleure collaboration. Outre le développement d’une procédure pilote, les partenaires doivent définir et mesurer les présences chimiques en cas de combustion. Ils doivent ainsi développer des capteurs utilisables pendant les procédés industriels pour contrôler les émissions d’oxydes d’azotes et de soufre.

Partenaires

  • Laboratoire de PhysicoChimie de l’Atmosphère, EA 4493, Université du Littoral Côte d’Opale (France)
  • Functional Materials Group - University of Kent Canterbury (FMG-UKC) (Grande-Bretagne)
  • CNRS, Direction Nord-Pas-de-Calais Picardie (France)
  • Delft Department of Chemical Technology, Faculty of Applied Sciences, University of Delft (Pays-Bas)
  • Laboratoire de Réactivité et de Chimie des Solides, UMR CNRS 6007 Université de Picardie Jules Verne (France)

Objectifs du projet

  • Comprendre, modéliser et utiliser les mécanismes mis en jeu dans les processus de combustion par l’étude de l’impact de certains additifs dans les procédés de fabrication ;
  • Développer des techniques de détection (spectroscopie THz) plus mature pour une identification plus précise sur le terrain des émissions d’oxydes d’azote et de souffre ;
  • Développer des capteurs chimiques afin de les rendre plus sélectifs, sensibles, stables ;
  • Proposer des voies pour réduire les émissions de NOx et SOx issues des industries et des transports.

Activités du projet

communiqués de presse et publication d’études

Durée du projet

Du 01/07/2009 au 31/12/2012

Coût total

1 788 807 €

Subventions européennes

894 403 €