Suite à la parution du rapport final et des "blueprints" de chaque site pilote du projet "Construire des régions transfrontalières plus résilientes" porté par l'OCDE et la DG REGIO, le Pôle Métropolitain Frontalier du Nord Lorrain nous livre son éclairage sur le travail mené, ses apports, et les besoins spécifiques du territoire qui fait partie des sites pilotes.
Fin février 2025, la sénatrice de Meurthe et Moselle, Madame Véronique Guillotin, a déposé un amendement portant sur les hôpitaux frontaliers.
L'ITEM est un centre d'expertise de l'Université de Maastricht (UM) sur la mobilité et la coopération transfrontalières. L'enquête est disponible en néerlandais, français, allemand, luxembourgeois et anglais, et ne prend que 5 à 10 minutes !
En France, l'abandon du projet de réforme controversée du chômage des frontaliers été annoncé le 3 décembre 2024 par la ministre démissionnaire Astrid Panosyan-Bouvet. Cette mesure, qui aurait réduit les indemnités des travailleurs frontaliers, a suscité une forte opposition, notamment dans l'Est de la France.
Mené en collaboration avec la Commission européenne, ce rapport montre que "des organes de gouvernance transfrontalière bien conçus et dotés de ressources suffisantes peuvent contribuer à libérer le potentiel de développement des régions transfrontalières".
En 2021, les travailleurs frontaliers parcourent en moyenne 34 km pour se rendre à leur travail, contre 14 km pour les non-frontaliers résidant dans les mêmes territoires. Ils utilisent majoritairement la voiture. 18 % d’entre eux ont des trajets de 50 km ou plus, et ces longs trajets sont en forte augmentation par rapport à 2010.
Dans le cadre de sa mission d’analyse et de soutien des territoires frontaliers, la MOT lance une nouvelle série de publications dédiée à l’observation transfrontalière. Ce premier numéro est consacré à une question essentielle : les dynamiques de l’économie et de l’emploi en contexte transfrontalier, et plus précisément les flux de travailleurs frontaliers aux frontières françaises.
Début octobre, le gouvernement français a relancé les négociations concernant l'accord sur l'assurance chômage, en redonnant la main aux acteurs sociaux, et en demandant "une économie de 400 millions d’euros supplémentaires dès l’année prochaine" tout en suggérant d'étudier la piste des travailleurs frontaliers qui "perçoivent dans certains pays voisins des salaires nettement plus élevés, notamment en Suisse et au Luxembourg".
Le 4 novembre 2024 s’est tenue à Luxembourg la conférence "Aménager l’aire fonctionnelle transfrontalière", organisée conjointement par l’AGAPE, la MOT et le Ministère du Logement et de l’Aménagement du Territoire du Grand-Duché, réunissant plus de 80 participants. Le replay est en ligne !
Chaque année le système d’indemnisation des allocataires frontaliers représente un surcout d’environ 800 M€ par an pour le régime d’assurance chômage français. Suite à la publication de son rapport, l'Unedic, qui gère l’assurance chômage des Français, demande une renégociation des accords avec les pays voisins.
Le 26 septembre, la Chaire "Urbanisme et Aménagement Durables" de l’Université de Metz a organisé une journée d’études pluridisciplinaire sur les "bassins de vie transfrontaliers" réunissant près de 150 participants à la Faculté de Droit de Metz et en ligne.
Les électeurs européens étaient appelés aux urnes du 6 au 9 juin 2024 dans les 27 Etats-membres de l’Union Européenne, et plus particulièrement le 9 juin en France. Ces élections concernaient au plus haut point les citoyens français résidant dans les territoires et bassins de vie frontaliers, puisque ce sont ces mêmes citoyens qui vivent l’Europe au quotidien par la transfrontalité de leur vie personnelle comme professionnelle. Mais se sont-ils mobilisés ? Pour le savoir, découvrez notre article et notre carte !
Pendant plus d'un an, la MOT a mené une expérimentation "bassins de vie transfrontaliers" soutenue par dix-sept partenaires sur cinq sites pilotes. Vous pouvez aujourd'hui consulter le rapport final et télécharger notre infographie des messages clés de l'étude. N'oubliez pas également de vous inscrire à notre webinaire de restitution qui se tiendra le 5 juin !
Une Commission intergouvernementale franco-luxembourgeoise devrait être organisée d’ici la fin d’année 2024. Dans le cadre de sa préparation, la MOT a été interrogée à deux reprises par les services de l’Etat français.
"Des communes frontalières françaises réclament une «contribution» fiscale au Grand-Duché voisin. Une telle revendication a été formulée le 8 mars par un collectif d’élus."
La loi 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation du système de santé en France a instauré un nouveau "Projet régional de santé" (PRS) maintenu dans son principe, avec trois nouvelles composantes : un Cadre d’orientation stratégique (COS) à 10 ans, un Schéma régional de santé (SRS) unique à 5 ans et un Programme régional relatif à l’accès à la prévention et aux soins des personnes les plus démunies (PRAPS).
Dans le cadre du partenariat liant la MOT au Grand-Duché du Luxembourg, représenté par son Département de l'Aménagement du Territoire, la MOT a animé un atelier de travail transfrontalier franco-germano-luxembourgeois le 31 janvier 2024 à la Maison de la Nature du Pays de Sierck (Moselle).
Mobilité, services publics, santé, logement… comment répondre au phénomène transfrontalier entre la France et le Luxembourg ? Le maire de Thionville, président du Pôle métropolitain frontalier (PMF), nous explique quelles sont les solidarités à mettre en place sur son territoire, où se concentrent 70% des 120 000 travailleurs frontaliers français au Luxembourg.
Depuis près d’un an, la MOT, soutenue par seize partenaires, a engagé une expérimentation "bassins de vie transfrontaliers" sur cinq sites pilotes aux frontières françaises : l’Eurodistrict PAMINA (frontière franco-allemande), l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai (frontière franco-belge), le Nord Lorrain – Luxembourg (frontière franco-luxembourgeoise), Alpes du Sud – Riviera (frontière franco-italo-monégasque), Agglomération franco-valdo-genevoise (frontière franco-suisse).
Le Contrat de Plan État-Région (CPER) 2023-2027 du Grand Est prévoit plus de 2,1 milliards d'euros de financements pour son volet mobilité.
A noter une contribution de la MOT sur l' "Etude Commerce SaarMoselle : l’importance de la coopération" menée dans le cadre du projet MORO.
Dans ce recueil, 22 auteurs aux profils très divers ont été invités à répondre à des questions majeures pour alimenter le débat dans le cadre des élections législatives au Luxembourg d’octobre 2023 et, au-delà, afin d'éclairer sur les grands défis du pays. Un chapitre entier est consacré au transfrontalier, avec une contribution d'Aurélien Biscaut, secrétaire général de la MOT.
En juin 2020, le Grand-duché de Luxembourg lançait un processus innovant : "Luxembourg in Transition – Visions territoriales pour le futur décarboné et résilient de la région fonctionnelle luxembourgeoise". Son objectif : réunir des propositions stratégiques d’aménagement du territoire et produire des scénarios de transition écologique à l’horizon 2050 pour le Grand-Duché de Luxembourg et ses territoires frontaliers.
Chaque année, le Cerema, l'Université Gustave Eiffel et le STRMTG (Ministère chargé des Transports) organisent les "Journées Mobilités du Réseau Scientifique et Technique". Elle se sont tenues cette année à Metz du 3 au 5 juillet.
La France a signé l'accord qui maintient la possibilité pour les travailleurs frontaliers d'être en télétravail jusqu'à 50% de leur temps de travail, a annoncé Olivier Dussopt, Ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, dans un communiqué daté du 30 juin.
